oubli

Publié le par lithosa

La femme est la postérité du monde,
elle enfante dans le poids qui gronde ;
Les histoires en font une graine
qui germe et pousse les larmes pleines
de danses au longer d'une peau,
les glissant vers les joues, ruisselant.

Pourtant il y eut des sots
qui en firent grand écho
dans l'amertume de se perdre du beau
pour cause, l'amour que réclame le né nouveau,

Paternel, le germe vient de toi
ne pousse pas les larmes sèches
car elles pourraient déshydrater la peau
qu'un jour les larmes de ta maternelle
ont su inonder d'eau.
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article