litterallement lithosa-la nature instigatrice-

Aux éclats de leurs ailes l'observation déclare l'été foisonné de véritables tons dans lesquels bien non se déplaisent ; De queues taillées en deux s'élèvent rapide dans les cieux quand s'éloigne leur vie Nids seuls deviennent oisifs.

Cartouche je touche et "MOUCHE" je te couche Balles Nous trimbalons et "AU DEBALLE" Nous t'étalons Fusil j'entortille et "CIBLE" je torpille cartouche, balles, fusil RENDEZ VOS ARMES au bon parti.

j'aime ces mots Que tu me murmures Quand nous nous faisons Des câlins et j'aime L'odeur fraîche et pure Que tu dégages au petit matin

Mondaine se cherche certaine de paraître une bien elle au dévisager d'un voyeur au matin Où à tout instant citadine à la journée être observée flatte sa beauté et le non-retour orne sa fierté de ne jamais avouer cette réalité qui rend irascible LA MONDAINE...

Mouillé NOir-bleuté blouson Une brune loge son abri par compassion Ravie de cotoyer ce sauvage trempé Impatient de rentrer à son foyer, Embrasé par la grâce-affinée L'auto-stoppeur ressort tout en suée...

Oh ! Providence gratifie ma semence Ma repentance contre sa délivrance oh ! Délivrance Eblouis ma lassitude Ma solitude contre sa béatitude Oh ! béatitude Bénis ma jouissance Mon corps contre sa délivrance Oh ! Providence Oublie ma souffrance Ma vieillesse...

Au tumulte d'oiseaux j'entends que l'espoir est à nouveau, qui s'adonne à l'air si beau, Carillon, d'une multitude d'oiseaux ; calme, sobre et intrépide au bruit, je n'entends plus aucun bruit, Seul celui des oiseaux ; Les coches aux sabots des chevaux...

animal s'apeure de l'étranger pourtant, le peuple Israël le fût en Egypte, le mal congédie l'amitié en dommage en société qui subsiste Différence sociale reste jalousée, évidence d'un complexe d'infériorité voire d'une carence naïve pathogène, semblables...

plausible flonflon Auquel toute ombrelle Toise une possible attention Resplendissante Daurade influence le jalon effréné ; Cajolant une ambiance énamourée imprévue épître à toi pour qui je cite...

aux éclats de leurs ailes l'observation déclare l'été foisonné de véritables tons dans lesquels bien non se déplaisent : de queues taillées en deux s'élèvent rapide dans les cieux quand s'éloigne leur vie nids seuls deviennent oisifs.