MONDAIN, NE
un CABOTIN falot clinquant déverse des mots tel un état CINOQUE au démêlé dans une fange de BERLINGOTS .
poesie
un CABOTIN falot clinquant déverse des mots tel un état CINOQUE au démêlé dans une fange de BERLINGOTS .
Un jour les arbres pleurent les feuilles qui se sont détachées mais en tombant elles ont tapisé autour de leur tronc pour que survivent les arbres, ainsi reviendront les feuilles comme si rien n'avait changé ni de couleur ni d'éclat.
Tu n'es plus là maintenant et j'ai un pincement, un manque, car tu ne parlais que de souffrance, l'absence de plaisir, ou bien de ta maîtresse en "exil". Je souffre de la tienne absence car la fin de ta douleur a vaincu le mal qui perçât ton coeur. Zizou,...