longtemps, le peu souriant une balançoire vacille au plus montant ; chignon "marmot" se dénoue de vitesse impossible l'excellente adresse, et d'alors de chaque main le pouce recyclant... que peu plus que tour vaint lithosa

couleur des mots, calme douleur s'écrit tantôt sur mots dits si bien jolie que bientôt sitôt "maux" sourient

l'amour est comme l'eau quand on a soif on va vers elle elle désaltère puis on oublie mais on sait qu'elle reste fidèle, pour celui et celle qui le comprennent, viennent sur scène lire ce poème ainsi j'aime....

ce papillon scrute le mystère au derrière de ce bout de bois ; le ciel à l'horizon éveille la bougeotte au clair d'un sous-bois

dodue souvent sept points lui sont confondus menue sa silhouette assez coquette, au dernier compté la voilà déjà esquivée ; c'est la raison trompeuse de n'être admirée que pour ses "myrtilles", au pavot, flatteuses....

tA maladie ne m'fait du tout peur ton mal je l'adopte dans mon coeur ta colère passagère je n'en tiens rigueur ton envie d'aujourd'hui je l'accepte en disant OUI ton amour s'éveille et le temps lui sourit

patience ou PAS , attendre nous pouvons la condition stimule la raison laquelle n'est pas souvent à l'unisson, PEUR d'être aimé néglige d'aimer, moi au risque de perdre je me perche en confiance. LITHOSA

Ton avenir c'est aussi de guérir Ta pensée confuse bientôt se dissipera Ton histoire lointaine se volatisera Ton amant te survivra Ta famille t'aime Voilà enfin mon plaisir même...

au pied du sol, hilare au cachot de l'aigreur, sa paume tire son avant-bras et sollicite le mou de clémence.... Moi-même, sous le charme de complaisance, je tends un parchemin su quoi " quand sera lu, sera retenu " dit-il le clochard, une autre façon...